Mozilla Firefox

Depuis plusieurs années, les parts de marché du navigateur web Mozilla Firefox montent sans discontinuer, au détriment d’Internet Explorer de Microsoft. Nous attendions donc le moment – inévitable – où l’offre libre de la fondation Mozilla passerait devant sa concurrente.

Selon W3Schools, c’est ce qui est arrivé en janvier 2009 : Firefox, avec 45,5 % de parts de marché (dont 39,5 % pour Firefox 3.0), passe devant l’ensemble des versions d’Internet Explorer, qui cumulent 44,8 % de parts de marché. Vous remarquerez aussi que Google Chrome est installé sur 3,9 % des PC, une adoption rapide, mais qui ne se fait pas au détriment de Firefox. Au final, depuis septembre 2008, Chrome aura toujours devancé Opera et Safari.

Le site W3Schools produit des statistiques d’utilisation des navigateurs web, qui reflètent assez fidèlement (grâce à un très large échantillon de visiteurs), le taux d’adoption des différents produits chez les développeurs web et les webmasters. Dans la pratique, ces taux correspondent à ceux constatés chez les utilisateurs ‘classiques’ 12 à 18 mois plus tard, et ceci pour plusieurs raisons.

Premièrement, les professionnels du web sont des early adopters, prompts à utiliser les nouvelles technologies. Ils sont également des prescripteurs qui imposeront leurs choix à leurs clients, afin d’assurer un bon niveau de compatibilité avec les applications qu’ils ont développées. W3Schools est donc un excellent baromètre de l’évolution des habitudes des utilisateurs. Rester à savoir si les statistiques de janvier se confirmeront sur le marché grand public.


Source : silicon.fr

Dans l’histoire de Firefox, la version 2.0 n’avait pas été renversante, mais Firefox 3.0 avait largement relevé la barre. Mozilla travaille actuellement sur la mouture 3.1 qui sera bien plus finalement qu’une simple évolution, au vu des changements internes prévus. Mais tandis que le travail prend du retard, Mozilla parle enfin des modifications prévues pour Firefox 3.2.

Firefox 3.1 mise sur les améliorations internes...

Rappelons que la version 3.1 du navigateur doit apporter de nombreuses modifications et améliorations, en particulier sous le capot :

* Le nouveau moteur JavaScript TraceMonkey
* Un mode de navigation privée qui ne laisse aucune trace après une session de navigation
* Des améliorations diverses sur le moteur de rendu Gecko pour accélérer le chargement des pages
* De nouvelles options pour l’effacement de l’historique
* Des améliorations dans l’utilisation des onglets
* Le support de nouvelles technologies Web

Maintenir la mécanique interne et donc les performances de Firefox sur le front est donc la priorité de la version 3.1. Et concernant la 3.2 ?

... et Firefox 3.2 sur les fonctionnalités

On va commencer par l’inclusion de différents projets en incubation chez Mozilla Labs depuis un moment déjà. Ubiquity par exemple, dont nous avons déjà parlé, permettra au navigateur d’exécuter des requêtes simples écrites en langage naturel pour réaliser des actions. « map 15 Lygon Road – Edinburgh » ou encore « share on twitter » en sont des exemples. Actuellement disponible sous la forme d’une extension et appelable par la combinaison CTRL + Espace, Ubiquity serait intégré directement dans la barre d’adresses de Firefox.

On passe ensuite à Prism, dont le nom vous est sans doute déjà plus familier. Disponible lui aussi sous forme d’extension, ce projet permet de transformer un site Web en application. La page en question est « extraite » et placée dans un module extérieur qui peut ensuite être lancé en dehors du navigateur (mais en utilisant Gecko).

Gestion de la mémoire : toujours un seul processus

La personnalisation de Firefox devrait également évoluer, Mozilla précisant que l’on pourrait modifier l’apparence de son navigateur sans nécessairement télécharger de thèmes. Autre précision : Firefox 3.2 n’a pas vocation à intégrer un système de processus différents : il y aura bien toujours un seul processus Firefox, Mozilla estimant que la gestion de la mémoire est ainsi plus efficace. Mike Connor, architecte sur Firefox, estime que le choix de Google pour Chrome se répercute en une consommation trop importante pour la mémoire. Il indique cependant qu’une bonne idée pourrait se trouver à mi-chemin entre les deux : « réunir tous les onglets de Gmail dans un seul processus » par exemple.

Si vous vous demandez quand cette version sera disponible, il est difficile de répondre, car Mozilla ne le sait pas non plus. Actuellement, l’essentiel du travail est investi dans la version 3.1, dont la bêta 3 est imminente. Si Mike Connor ne pense pas que Firefox 3.2 deviendra Firefox 4.0, ce choix n’est pas écarté non plus. Il ne faut de toute manière rien espérer avant la fin de l’année, voire le printemps 2010.


Source : pcinpact

Si Firefox 3 a beaucoup plus marqué une évolution que la précédente deuxième mouture, sa suite se fait attendre. Le développement de la version 3.1 a pris du retard, alors qu’elle aurait dû être disponible publiquement à la fin de l’année dernière dans le plan initial. Aujourd’hui, la bêta 3 se fait attendre, mais la version finale ne s’appellera pas Firefox 3.1, mais bel et bien Firefox 3.5.

Toutes les nouveautés sur : http://www.pcinpact.com/actu/news/49542-firefox-35-tracemonkey-beta.htm

Firefox 3.1 bêta 3 est officiellement disponible à cette adresse, en 64 langues dont le français. Cette mouture est téléchargeable pour Windows, Mac OS X et Linux.

Ce navigateur web intègre maintenant de nouvelles technologies : support des balises audio et vidéo issues du HTML 5, API de géolocalisation du W3C, transformations SVG, support des applications hors ligne, intégration en standard de JSON, etc. Le mode privé a été amélioré tout comme les web workers (qui permettent de créer des tâches de fond en JavaScript).

Le moteur de rendu Gecko se veut plus rapide que précédemment. Ainsi, si le score au test Acid3 est identique à celui obtenu par Firefox 3.1 bêta 2 (soit 93/100), cette mouture est effectivement plus véloce et le rendu plus fluide.

JavaScript : du bon et du moins bon

Les développeurs nous informent que le moteur JavaScript TraceMonkey est maintenant plus stable et plus rapide. Au benchmark de Google V8, le score passe ainsi de 187 points (Firefox 3.1 bêta 2) à 274 points ! Impressionnant.

Toutefois, la série de tests SunSpider fait retomber notre enthousiasme : Firefox 3.1 bêta 2 réalisait ces tests en 1.785 ms. Il faudra 221,2 ms de plus à Firefox 3.1 bêta 3 pour achever ce benchmark. Les accès sont beaucoup plus lents que précédemment. Les fonctions de calcul (mathématiques, calcul matriciel et chiffrement) sont également en perte de vitesse. Toutefois, le traitement des données (chaines de caractères, bits et dates), des expressions régulières et des flux sont en net progrès.

Nous constatons donc par la pratique que les développeurs ont effectivement transformé TraceMonkey en profondeur. Les résultats sont toutefois légèrement décevants.

Consommation mémoire : un sans faute

Nous avons mis à profit notre ensemble de sites de test pour évaluer la consommation mémoire de cette nouvelle mouture de Firefox. Firefox 3.1 bêta 2 consommait 29,5 Mo à vide et 101,7 Mo en charge. Une fois les onglets fermés – hormis celui de google.fr – la consommation mémoire retombait à 45,8 Mo.

Avec Firefox 3.1 bêta 3, la consommation mémoire à vide est en baisse : 29,3 Mo. Même constat en charge avec une valeur remarquable de 100,3 Mo. Mais la grande force de cette version est de libérer largement les ressources lorsque vous fermez les onglets. La consommation mémoire retombe ainsi à seulement 40,8 Mo !

Dans le cadre de la libération des ressources, Firefox ne peut lutter avec le modèle adopté par Google Chrome, où chaque fenêtre est prise en charge par un processus indépendant. Cependant, il compense largement ce désavantage par une consommation en charge record.

Avec Firefox 3.1 bêta 3, les développeurs de la fondation Mozilla proposent un navigateur web solide et performant. Certes, nous aurions aimé que les gains en vitesse constatés dans certains secteurs ne soient pas contrebalancés par des baisses apparues dans d’autres. Firefox 3.1 (qui s’appellera probablement Firefox 3.5) promet toutefois de se placer dans le peloton de tête des futurs navigateurs web.


Source : silicon.fr

Mozilla a dévoilé les premières informations au sujet du Firefox qui suivra la version 3.5 prévue pour bientôt. Pour l’instant, cette future mouture est estampillée 3.6 et est connue sous les noms de « Namoroka » et « Firefox.Next ». Étant donné la liste des modifications prévues, il n’est pas impossible que l’on parle ici finalement de Firefox 4.0.


Voici les objectifs donnés par Mozilla pour Namoroka :

* Une augmentation visible par l’utilisateur des performances, notamment sur le temps de démarrage, le temps d’ouverture d’un nouvel onglet (réactivité) et plus globalement les temps de réponse lors des interactions avec l’interface.
* Personnalisation : simplifier le développement, la découverte, l’installation et la gestion des extensions qui personnalisent le navigateur et/ou en modifient les fonctionnalités. Serait ainsi visée par exemple l’absence de redémarrage après l’installation d’une extension.
* La possibilité d’organiser le navigateur en fonction de ce que l’on souhaite accomplir. En clair, il s’agirait de passer d’une utilisation centrée sur les pages Web à une utilisation basée sur les tâches. Cela concerne notamment la possibilité d’effectuer une tâche rattachée à un site Web sans visiter ce dernier. Comme exemple on donnera le cas de Flock, imbriqué dans les réseaux sociaux et donnant accès à leurs fonctionnalités sans nécessairement les visiter.
* Support des applications Web : gommer la frontière entre un site et une application Web. Il s’agira de fournir aux développeurs les outils pour créer de telles applications qui fonctionneront même sans connexion active.
* Intégration système : renforcer l’intégration du navigateur pour chaque système sur lequel il est installé. Cela inclut les interactions avec les données ainsi que l’utilisation des services présents sur le système, comme les dictionnaires.

Namoroka sera basé sur la version 1.9.2 du moteur de rendu HTML Gecko. Sa première version alpha devrait arriver début 2010, mais les développeurs ne se risquent à aucune date prévisionnelle pour la version finale : « Quand ce sera fait ».


Source : pcinpact.com

Le navigateur web Mozilla Firefox passe aujourd’hui en version 3.0.9. Cette dernière corrige de multiples problèmes. Elle élimine tout d’abord neuf vulnérabilités, dont une classée comme étant critique, deux d’un niveau élevé et deux modérément dangereuses.

La faille critique touche le moteur JavaScript, qui présente de multiples faiblesses : dans certaines circonstances, il peut faire planter l’application. Une corruption de la mémoire a pu être constatée. C’est la porte ouverte à l’exécution de code distant sur la machine de l’utilisateur, ce qui permettra à un pirate d’en prendre le contrôle. Bref, la mise à jour de l’application est vivement recommandée.

Notez que cette faille touche également le logiciel Thunderbird. Toutefois, le moteur JavaScript étant désactivé par défaut lors de la lecture des messages, le risque est ici très limité. Cette vulnérabilité est aussi présente dans Firefox 2. Ce logiciel n’étant plus maintenu par la communauté, il ne vous reste d’autre choix… que de l’abandonner au profit de Firefox 3.

Les développeurs profitent de cette mise à jour pour éliminer divers problèmes nuisant à la stabilité de Firefox, ainsi que quelques bogues ennuyeux (perte des cookies, lenteur lors de l’envoi de gros formulaires, soucis avec certains webmails, etc.). Au total, ce sont 67 bogues qui ont été supprimés. Firefox 3.0.9 est donc une mise à jour importante, même si elle ne corrige que peu de problèmes réellement critiques.


Source : silicon.fr

Les développeurs de la fondation Mozilla viennent de rendre publiques deux sorties simultanées. Tout d’abord, Firefox 3.0.10 succède à Firefox 3.0.9, lancé pourtant il y seulement six jours.

Cette mouture corrige un bogue critique : dans certaines circonstances, le moteur HTML de Firefox provoque un crash de l’application. Une corruption de la mémoire a pu être constatée. C’est la porte ouverte à l’exécution de code distant sur la machine de l’utilisateur, bref, à la prise de contrôle éventuelle du PC par un pirate. La mise à jour du navigateur est vivement recommandée. Bon point, elle sera automatique dans la majorité des cas.

La fondation Mozilla dévoile également la quatrième mouture bêta de Firefox 3.5. Cette dernière est disponible pour Windows, Mac OS X et Linux, et ce, en pas moins de 70 langues. Cette version met l’accent sur les performances, avec un système de rendu HTML plus rapide. Le moteur JavaScript TraceMonkey sera plus véloce et plus stable que précédemment.

De multiples nouvelles technologies sont présentes : système de géolocalisation, support natif de JSON et des web workers, balises audio (OGG et Wav) et vidéo (OGG), stockage local des données, support du drag and drop, etc. La navigation privée est également en progrès, grâce à l’intégration de nouveaux outils de gestion des informations stockées.

Il s’agit donc là d’une avancée majeure dans le développement de la prochaine version de Firefox. À essayer de toute urgence… sur une machine de test, uniquement.


Source : silicon.fr

Avec deux points gagnés encore, Firefox continue sa douce ascension dans les 23 pays européens sondés par AT Internet Institute, puisqu'entre novembre 2008 et avril 2009, le navigateur est passé de 26,4 % à 28,4 % de parts de marché.

Une progression qui est la plus forte du marché, et tout particulièrement en Allemagne, où il toucherait pour le mois d'avril, 42,2 % des utilisateurs. Viennent ensuite la France, l'Espagne et l'Italie se talonnent puis que le Royaume-Uni.

Concernant Internet Explorer, la chute se poursuit, puisque l'on passe de 67,2 % en novembre 2008 à 63,6% pour avril 2009. Quasiment 4 points dans les gencives, qui rejaillissent évidemment sur les autres navigateurs.

En outre, on constate qu'Internet Explorer perd de la vitesse plus encore le week-end, au profit de Firefox représentant 60,1 % d'utilisation un jour de week-end contre 64,4 % un jour de semaine. Mais les samedis et dimanches sont tout aussi propices aux autres navigateurs, tels que Safari, Opera, Chrome et Netscape dont les statistiques sont alors plus élevées.

Selon l'institut, « lentement, mais sûrement, Firefox se fait sa place sur le marché des navigateurs, et grignote petit à petit le terrain de chasse d'Internet Explorer ». En avril 2008, Internet Explorer culminait à 74,8 % de PdM.


Source : www.pcinpact.com

La fondation Mozilla étend encore la flexibilité du navigateur web Firefox, au travers de plusieurs initiatives.

Le site énumérant les modules complémentaires du logiciel dispose ainsi d’une nouvelle section regroupant les extensions par famille. Les collections permettent de s’y retrouver dans la jungle des add-ons, en proposant des packs prêts à l’emploi : développement web, navigation avancée, réseaux sociaux, voyage, gestion personnelle…

Tout utilisateur sera en mesure de proposer ses propres collections de modules complémentaires. Plus de 5000 collections sont d’ores et déjà disponibles. Actuellement, c’est le pack développeurs qui rencontre le plus de succès, avec plus de 1300 inscrits.

Les Mozilla Labs mettent également à jour la technologie Jetpack, qui permet d’étendre aisément les fonctionnalités de Firefox. Cette nouvelle version offre d’afficher des barres latérales, d’interagir avec le presse-papier du système d’exploitation et de stocker des données localement. Aujourd’hui, cet ensemble a été téléchargé plus de 40.000 fois. Au moins 40 Jetpacks ont été proposés au public. Un bon démarrage pour un produit qui se trouve encore dans sa phase initiale de développement.

Enfin, Weave, qui permet par exemple de synchroniser les paramètres et données personnelles entre plusieurs sessions du navigateur (fonctionnant sur des machines différentes), devrait prochainement apparaitre dans une nouvelle mouture, expurgée de quelques bogues gênants.


Source : silicon.fr

Mozilla évoque déjà la disponibilité de Firefox 4.0. Si l'on en croit la feuille de route Firefox 4 pourrait débarquer entre les 3e et 4e trimestres 2010. Soit autour d'octobre novembre. Nouvelle ergonomie (avec les onglets au dessus de la barre d'adresse comme avec Google Chrome), nouvelles possibilités d'extensions via des API et séparation des contenus et des processus constitueront les principales innovations du navigateur.


http://www.silicon.fr/fr/news/2009/09/08/mozilla_firefox_4_0_avant_fin_2010_

L’idée est de lister les plug-ins installés et de fournir un état associé. Mozilla a constitué une base de données référençant les dernières versions disponibles et vous avertit simplement si vous devez mettre à jour.

Dans le cas où tout va bien, les voyants sont au vert et Mozilla vous congratule d’un joli « You are safe » (« Vous êtes en sécurité », du moins autant que faire se peut). Dans le cas contraire, le bouton indique « Update Now » (« Mettez à jour maintenant ») pour remédier à la situation.

Pour le moment, il s’agit d’une simple page web (https://www-trunk.stage.mozilla.com/en-US/plugincheck/), mais cela deviendra peut-être une fonctionnalité à part entière du navigateur par la suite. Attention, un avertissement de sécurité sera présent sur la page à cause d'un certificat qui ne fonctionne pas. Il faudra ajouter une exception pour utiliser la détection des plug-ins.


http://www.pcinpact.com/actu/news/53405-firefox-plugins-version-controle-conseil.htm

Firefox fête, ce lundi 9 novembre, ses cinq années d’existence. La version définitive du navigateur de la fondation Mozilla en version 1.0 est apparu le 9 novembre 2004. Mais le projet de développement avait débuté dès septembre 2002. Voire avant avec la création de la suite web Mozilla aujourd'hui développée sous le projet SeaMonkey.

Tristan Nitot, président de Mozilla Europe, revient sur les avancées réalisées pendant ces cinq années : « Nous avons basculé d’un monopole assoupi diffusant un navigateur obsolète et peu sécurisé à une situation où les utilisateurs ont le choix entre plusieurs navigateurs modernes. Nous avons validé le modèle du logiciel libre pour le grand public et nous sommes passés de quasiment rien à 330 millions d’utilisateurs. »

Plus important encore, Firefox a donné l’impulsion qui a permis aux standards officiels du web de revenir sur le devant de la scène, la situation dans ce domaine étant devenue catastrophique à l’ère d’Internet Explorer 5 et 6. La saine concurrence apportée par ce logiciel a permis de corriger ce point, en favorisant des standards ouverts et en proposant de nouvelles fonctionnalités, qui ont été largement reprises par les autres butineurs.

Mozilla Europe organise un événement le 9 novembre, afin de fêter dignement cet anniversaire. La Soirée Firefox Paris se déroule au conseil régional d’Île-de-France, en présence de Jean-Paul Huchon, président du conseil régional d’Île-de-France, et de John Lilly, CEO de Mozilla qui se déplace pour l'occasion.

Le navigateur alternatif à Internet Explorer continue sa percée sur le marché des navigateurs. Début novembre, Firefox occupait plus de 32 % du marché mondial contre 25,27 % il y a un an selon StatCounter. Même tendance du côté de Net Applications, quoi que dans d'autres proportions, où Firefox passe de 21 % à 24 % en un an.

Pour sa part, AT Internet Institute, qui mesure l'audience européenne, voit la part de Firefox passer de passe de 27,8% en mars, en moyenne pour un site d’un pays européen, à 28,4% en septembre 2009. Que de chemin parcouru en 5 ans, donc. Un exploit que même Google ou Apple, malgré leur puissance marketing, ne parviennent pas à renouveler avec leurs navigateurs respectifs Chrome et Safari.

Une chose est sûre: si Microsoft Internet Explorer continue de dominer le marché, il ne constitue plus l'unique solution pertinente pour naviguer en ligne. Et le «ballot screen», qui permettra à l'utilisateur de Windows 7 de choisir son navigateur par défaut parmi les principaux du moment, devrait contribuer à éroder son utilisation.


Source : silicon.fr

Il s’agit autant d’une extension pour Firefox que d’une infrastructure permettant de sauvegarder en ligne les marque-pages de Firefox. Du moins, les marque-pages ne sont qu’un début, car Weave prévoit d’aller beaucoup plus loin. La version 1.0 bêta 2 permet de se faire une bonne idée de ce que Mozilla prépare.

La première bêta avait fourni de nombreuses améliorations : plus rapide, mieux sécurisée et procédant à la synchronisation vers les serveurs de Mozilla par incrémentations (pour ne pas tout perdre en cas de problèmes de synchronisation). En approche de la version finale, Weave devient un service complet car il prendra en charge :

* Les marque-pages
* Les mots de passe
* L’historique
* Les onglets
* Les préférences
* Les extensions
* Les personas (les thèmes légers apparus avec Firefox 3.5)


Le but est le suivant : si vous avez plusieurs Firefox, Weave va se charger de les harmoniser pour qu’ils partagent tous leurs données. Une session ouverte le matin avant de partir au travail ? Si vous avez ce genre de droits sur votre machine de bureau, vous pourrez retrouver exactement la même interface et les mêmes extensions.

La bêta 2 apporte les changements suivants :

* Amélioration de la récupération des mots de passe
* Meilleure gestion des dossiers portant le même nom
* Synchronisation des suppressions d’éléments dans l’historique : si l’on supprime un élément depuis un ordinateur, les autres recevront la même suppression.
* Nommage automatique des ordinateurs : si l’on lit des onglets depuis un autre ordinateur, Weave identifie automatiquement ce dernier avec le nom de la machine ainsi que le nom de l’utilisateur.


Source : pcinpact.com

Firefox 3.7 et Firefox 4.0 attribueront des processus séparés à l’interface, aux pages web et aux greffons. Ceci améliorera la stabilité et la sécurité de l’ensemble.
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Benjamin Smedberg, développeur chez Mozilla, est un véritable touche-à-tout, qui se focalise actuellement sur la problématique de la séparation des tâches au sein des navigateurs de la fondation. Il est le responsable du projet Electrolysis, qui vise à attribuer des processus différents à l’interface de Firefox, au rendu de chaque page et aux greffons. Tout un programme.

Cette séparation des tâches aura une influence positive sur la stabilité et la sécurité du navigateur. L’utilisation de plusieurs processus permettra également d’accroitre les performances de Firefox (en particulier lorsque plusieurs pages sont ouvertes simultanément) et de diminuer les ralentissements parfois constatés.

Le code du projet Electrolysis n’est pas encore suffisamment stable pour permettre d’effectuer des tests sérieux. Benjamin Auffarth a toutefois réussi à obtenir des résultats assez prometteurs. Les gains constatés semblent supérieurs à ceux décrochés par une compilation journalière classique de Firefox.

Les résultats de ces travaux apparaitront progressivement au sein de Firefox. La mouture 3.7 séparera les greffons du rendu de la page HTML, ce qui éliminera de nombreuses sources de blocage. Avec la version 4.0, chaque page fonctionnera dans un processus différent. Firefox adoptera alors un mode de fonctionnement similaire à celui employé pour Chrome et Internet Explorer 8.


Source : silicon.fr

Après de longs mois d’attente, la version définitive de Firefox 3.6 va enfin être rendue publique. Elle sera plus rapide et plus fonctionnelle que jamais. Un futur hit.
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Le wiki de la fondation Mozilla ne laisse plus aucune place au doute : après de multiples moutures de test et deux Release Candidate, le navigateur web Firefox 3.6 fera son entrée jeudi prochain.

Loin d’être une simple version de maintenance, Firefox 3.6 se veut nettement plus rapide que son prédécesseur, comme nous avons pu le mesurer lors de nos tests, réalisés dans le cadre de notre dernier dossier comparatif. David Madlin a écrit un article complet (mais très technique) qui présente les avancées réalisées au sein du moteur JavaScript du navigateur.

Firefox 3.6 fera aussi le plein de fonctionnalités : gestion des thèmes Personas, surveillance des mises à jour des plug-ins, affichage des vidéos en plein écran, support des polices de caractères web au format WOFF (Web Open Font Format), etc. Enfin, il adopte le moteur de rendu Gecko 1.9.2, lequel apporte de multiples améliorations en termes de fonctionnalités et de respect des standards.

Notez que la fondation Mozilla prévoit également de diffuser la version 3.0.1 de Thunderbird aujourd’hui même. Elle permettra d’améliorer la stabilité de cet outil de messagerie.


Source : silicon.fr

Gecko est la couche de rendu web utilisée au sein des produits de la fondation Mozilla. Toute évolution de cette plate-forme trace donc la voie à de nouvelles fonctionnalités pour le navigateur web Firefox, entres autres.

L’équipe de développement de ce projet vient de mettre en ligne une première version de test de Gecko 1.9.3 (pour Windows, Mac OS X et Linux). Le rendu des pages sera plus rapide et plus fidèle, le défilement plus fluide et les impressions de meilleure qualité. Voilà des avancées dont personne ne se plaindra.

Le support du WebGL, qui permet d’afficher de la 3D accélérée, est également de la partie, quoique désactivé par défaut. L’intégration d’une nouvelle fonctionnalité issue de l’HTML5 permettra aux pages web de manipuler l’historique de navigation (sans que des informations personnelles puissent être utilisées, bien entendu). Les CSS (feuilles de style) pourront supporter des transitions, ces animations étant supervisables par le code inséré dans la page. Une fonctionnalité importante, mais qui n’est pas encore totalement implémentée.

Enfin, les graphismes vectoriels au format SVG pourront être animés, au travers de la technologie SMIL (Synchronized Multimedia Integration Language). Là encore, du travail reste à effectuer, mais le couple SMIL et SVG pourrait – à terme – constituer le candidat idéal pour remplacer Adobe Flash dans le cadre de l’affichage d’animations vectorielles.


Source : silicon.fr

Le succès que rencontre Firefox 3.6 ne décline pas. La nouvelle version du navigateur de la Fondation Mozilla a franchi, jeudi 11 février, les 50 millions de téléchargements selon le compteur en temps réel mis en place par l'éditeur (il frôle les 52 millions ce vendredi matin). Soit plus de deux millions de téléchargements quotidiens en moyenne.

Le classement des principaux pays où le navigateur est adopté varie peu depuis son lancement le 21 janvier. Sans surprise, les Etats-Unis constituent le premier territoire d'accueil avec 10 millions de téléchargements. Suivi de l'Allemagne (plus de 5 millions) et du Brésil (près de 3 millions) qui dépasse ainsi la France (plus de 2 millions) et l'Italie (1,6 million).

Il semble donc que les améliorations apportées par cette nouvelle mouture, dont la personnalisation de l'interface (Personas), le support de la vidéo plein écran avec le HTML5, ou encore la vérification des mises à jour des plugins (quand ils ne sont pas vérolés), séduisent les aficionados du panda roux. Surtout, le traitement du JavaScript se voit accélér.


Source : silicon.fr

Le navigateur web Firefox 3.6 est sorti le 21 janvier 2010. Il a depuis remporté plusieurs succès d’importance. Tout d’abord, il aura tenu deux mois avant qu’une mise à jour de sécurité ne soit nécessaire. De plus, il a été massivement téléchargé : plus de 200 millions de fois en deux mois.

Sachez que depuis novembre 2004 (soit il y a plus de 64 mois), le navigateur phare de la fondation Mozilla a été téléchargé 1,31 milliard de fois. Avec 200 millions en deux mois, le rythme de téléchargement est donc bien supérieur à celui constaté depuis les débuts de ce logiciel.

Les derniers chiffres de StatCounter, portant sur les sept derniers jours, font apparaitre des parts de marché de 31,36 % au niveau mondial. En Europe, ce chiffre monte à 38,11 %, en grande partie grâce au ballot screen de Windows. Petit regret, la France présente de moins bons résultats, avec 36,3 % de parts de marché pour Firefox.

Attention, car ces chiffres concernent l’ensemble des versions du navigateur. Firefox 3.6 dispose de parts de marché de 17,13 % (monde), 22,58 % (Europe) et 21,59 % (France). L’adoption de Firefox 3.6 devrait toutefois s’accélérer, la fondation Mozilla proposant dorénavant aux internautes utilisant la mouture 3.5 de basculer vers cette nouvelle offre.

Notez enfin que les professionnels du web ne s’y sont pas trompés: d’après les statistiques du site W3Schools, Firefox est leur navigateur préféré, devant Internet Explorer, et ce, depuis le début de l’année 2009.


Source : silicon.fr

J'ai des problèmes de compatibilité avec cette version, j'espère que ce sera bien-tôt corrigé.

C’est maintenant officiel : une version bêta du navigateur web Firefox 4.0 sera rendue disponible au cours du mois de juin. La mouture définitive de ce produit devrait faire son entrée fin novembre, une release candidate devant être présentée en octobre.

Sans grande surprise, les développeurs mettront l’accent sur la vitesse de traitement du navigateur, qui – au fil des mois – s’est fait distancer par Chrome, Opera et Safari. Même Internet Explorer 9 promet d’être plus rapide que les versions actuelles de Firefox. La fondation Mozilla se devait donc de réagir afin de rester dans la course et de conserver la seconde place des navigateurs web.

L’interface graphique de l’application sera également modifiée, dans le but d’améliorer l’expérience utilisateur. Épurée, elle n’est pas sans rappeler celle utilisée par Chrome, les onglets étant placés en haut de la fenêtre. Bien évidemment, le respect des standards, en particulier celui de l’HTML5, sera au cœur de cette nouvelle mouture.


Source : silicon.fr

Weave Sync est un produit qui permet de synchroniser de multiples informations entre des instances de Firefox fonctionnant sur des PC différents : historique de navigation, mots de passe, marque-pages et onglets ouverts. Cette technologie est également multi-plates-formes : Windows, Mac OS X, Linux et terminaux mobiles (dont, peut-être, l'iPhone). L’ensemble des transferts s’effectue de façon sécurisée.

Jusqu’à la version 1.2, Weave Sync était un développement mené par les Mozilla Labs. La mouture 1.3 est dorénavant hébergée directement sur le site de Mozilla (la version mobile est décrite ici) et profite de l’occasion pour changer de nom, en devenant Firefox Sync. L’information est plus importante qu’il n’y parait de premier abord. De fait, Sync sera maintenant développé en même temps que Firefox et les futures versions du navigateur web de la fondation Mozilla intégreront cette technologie en standard. De quoi aller contrer Google Chrome, qui propose déjà par défaut une fonctionnalité équivalente (quoique plus limitée). Dans l’intervalle, Firefox Sync est toujours disponible sous la forme d’un module complémentaire qu'il faut alors installer sur chacune des instantes du navigateur.

Notez que cette mouture 1.3 se veut plus facile à configurer et à utiliser. Elle est également disponible dans plus de 15 langues, dont le français. Rappelons enfin que l’application iPhone Firefox Home s’appuie sur la technologie Firefox Sync.


Source : silicon.fr

Après une longue attente, la très attendue version 3.6.4 du navigateur web Firefox est aujourd’hui rendue publique.

La grosse nouveauté est sans conteste l’isolation des greffons. En cas de plantage d’un plug-in, le navigateur continuera à fonctionner. Pratique, même si cette fonctionnalité est aujourd’hui limitée aux greffons Adobe Flash, Apple QuickTime et Microsoft Silverlight.

Cette version du navigateur web de la fondation Mozilla corrige également 226 bogues, qui pouvaient parfois nuire à la stabilité du logiciel. Elle élimine aussi neuf failles de sécurité, dont six sont classées comme étant critiques. Ces dernières sont liées à des corruptions de mémoire, qui permettent l’exécution de code distant sur la machine de l’utilisateur, et donc sa prise de contrôle éventuelle par un pirate. En conséquence, la mise à jour est vivement recommandée.

Firefox 3.6.4 est disponible pour Windows, Mac OS X et Linux. Les utilisateurs des distributions Linux modernes trouveront cette mise à jour directement au sein des dépôts logiciels de leur système d’exploitation. Bien entendu, nous ne manquerons pas de tester prochainement cette version de Firefox, dans le cadre d’une nouvelle mouture de notre comparatif des navigateurs web.

Prochaine étape pour la fondation Mozilla ; Firefox 4.0, dont une première mouture de test officielle devrait être livrée prochainement.


Source : silicon.fr