La digestion: résonnement correct?

Bonjour
Je suis en train de faire un exercice pour approfondir mes connaissances.
Je voudrais savoir si mon résonnement est correct.
Pourriez vous me le confirmer? S'il vous plait?

Voici l'énoncé et les questions (mes réponses sont en bleu)
Dans certaines pathologies, une mauvaise digestion conduit à des vomissements et des diarrhées.
1. Rappeler la nature et la structure des macromolécules suivantes :
- amidon
- triglycérides
- protéines




L’amidon est une macromolécule de réserve du règne végétal. C’est un mélange de deux types de macromolécules. L’amylose et l’amylopectine.

Les triglycérides sont des esters de glycérol avec trois acides gras.

Les protéines sont des acides aminés reliés par liaisons peptidiques.




2. Indiquer les produits obtenus par hydrolyse de l’amidon, des triglycérides et des protéines.


Par hydrolyse, l’amidon devient de la dextrine. Les triglycérides deviennent des lipoprotéine-lipase et les protéines des oligopeptides.

Différentes expériences sont réalisées afin de mieux connaître la composition des sécrétions pancréatiques. On remplit pour cela des tubes à essai avec des solutions de macromolécules ; on ajoute des sécrétions pancréatiques et on incube à 37 °C et à un pH de 6,8. Différents tests biochimiques sont réalisés sur ces tubes.
Les résultats suivants sont obtenus :

* tube contenant une solution d’amidon et des extraits pancréatiques :



* tube contenant une solution de triglycérides :




* tube contenant des flocons de blanc d’œuf cuit :




On rappelle que le test à la liqueur de Fehling permet de mettre en évidence les monosaccharides et que le bleu de bromothymol est un indicateur de pH : vert en milieu neutre ou légèrement acide et jaune en milieu acide (zone de virage pour pH 6).
Le blanc d’œuf contient majoritairement une protéine : l’ovalbumine.
Si les mêmes expériences sont réalisées sans ajouter de sécrétions pancréatiques, il n’y a jamais de changement au bout de 6 heures.

3. Analyser chacune des expériences pour en déduire de façon logique le rôle et donc le contenu enzymatique des sécrétions pancréatiques.
Une étude plus approfondie est réalisée sur une des enzymes des sécrétions pancréatiques : l’amylase.


Les tests biochimiques réalisés à base de solution d’amidon et d’extraits pancréatiques montrent un aspect limpide avant et après l’expérience. Le test à la liqueur de Fehling qui était une coloration bleue au départ devient un précipité rouge brique après 6 heures. Après ajout du bleu de bromothymol, la solution devient verte avant et après l’expérience.

Les tests biochimiques réalisés à base de solution d’amidon et d’extraits pancréatiques montrent un aspect trouble avant et après la 4eme expérience.

Dans la 5^ème expérience, la liqueur de Fehling est utilisée et donne une coloration bleue avant et après l’expérience.

Quant à l’expérience 6, le bleu de bromothymol permet de passer du vert au jaune après 6 heures.

Enfin, les tests biochimiques réalisés à base de flocons de blanc d’œuf cuit montrent un aspect limpide après 6 heures. La liqueur de Fehling ainsi que le bleu de bromothymol ne font aucun effet.

On en conclue que la solution d’amidon et d’extraits pancréatiques font effet à l’aide du test à la liqueur de Fehling ; la solution de triglycérides fait effet après ajout de bleu de bromothymol et les flocons de blanc d’œuf cuit font effet après chauffage à 37C°. Les enzymes des sécrétions pancréatiques ont une forme inactive ; elles ne s’activent qu’une fois dans l’intestin grêle sous l’action de l’amidon.



4. Définir le terme de catalyse et indiquer le type de réaction catalysée par l’amylase.
On cherche à connaître l’effet de la température sur l’activité enzymatique. On incube pour cela des tubes contenant de l’amylase et une solution d’amidon à différentes températures, durant 60 minutes. On réalise ensuite sur ces tubes des tests à l’eau iodée ou à la liqueur de Fehling. Les résultats suivants sont obtenus.




Catalyser veut dire accélérer.

L’amylase est une enzyme catalysant l’hydrolyse de l’amidon et ceux sont les polysaccharides qui catalysent l’amylase.


5. Analyser ces résultats pour en déduire les effets de la température sur l’amylase.


Dans l’expérience 1, le tube contient de l’amylase et de l’amidon qui est incubé à 37°C dans les 2 tests. L’eau iodée ne réagit pas tandis que la liqueur de Fehling donne une réaction positive.

Dans l’expérience 2, toujours le même contenu dans le tube mais incubé à 100°C, le réactif réagit en présence d’eau iodée mais pas avec la liqueur de Fehling.

Dans l’expérience 3, le même réactif est incubé à 0°C et les mêmes effets réagissent.

Dans l’expérience 4, l’amylase qui a été congelée et l’amidon ont étés incubé à 37°C. Ils réagissent à la liqueur de Fehling mais pas à l’eau iodée.

Dans l’expérience 5, l’amylase qui a été bouillie et l’amidon ont étés incubé à 37°C. Ils réagissent à l’inverse de la précédente expérience.

On en conclue qu’à une température élevée, l’amylase réagit.


Les effets du pH sont également étudiés pour cette enzyme. Pour cela, l’amylase est incubée 60 minutes à 37 °C en présence d’amidon, dans des solutions tamponnées de différents pH. Après 60 minutes, on dose les produits d’hydrolyse apparus et on en déduit la vitesse de réaction. Les résultats suivants ont été obtenus



6. Tracer la courbe exprimant la vitesse de réaction en fonction du pH et en déduire le pH pour lequel l’enzyme est la plus efficace.
Les pH suivants ont été mesurés au niveau de l’organisme : pH buccal = 6,3 ; pH gastrique = 3,1 ; pH entérique = 6,1.




L’enzyme est la plus efficace pour le pH=6.

7. Justifier à partir de ces mesures de pH la nécessité de posséder deux amylases (salivaire et pancréatique).


Il est nécessaire de posséder deux amylases, une salivaire qui agit au niveau buccal et donc n’est pas la même que l’amylase pancréatique au niveau gastrique puisque le pH n’est pas le même dans la bouche et dans l’estomac. Une enzyme donnée au niveau des substrats ne catalyse une réaction qu’avec un seul substrat. De même, une enzyme donnée au niveau de la réaction catalysée ne peut catalyser qu’un type de réaction.

Merci

Sû Princess a écrit:
Voici l'énoncé et les questions (mes réponses sont en bleu)
Dans certaines pathologies, une mauvaise digestion conduit à des vomissements et des diarrhées.
1. Rappeler la nature et la structure des macromolécules suivantes :
- amidon
- triglycérides
- protéines




L’amidon est une macromolécule de réserve du règne végétal. C’est un mélange de deux types de macromolécules. L’amylose et l’amylopectine.

Les triglycérides sont des esters de glycérol avec trois acides gras.

Les protéines sont des acides aminés reliés par liaisons peptidiques.

ok.
L'amidon est avant tout un polymère de glucose (l'équivalent du glycogène chez les animaux)

2. Indiquer les produits obtenus par hydrolyse de l’amidon, des triglycérides et des protéines.


Par hydrolyse, l’amidon devient de la dextrine. Les triglycérides deviennent des lipoprotéine-lipase et les protéines des oligopeptides.

L'amidon donne du glucose, les triglycérides du glycérol et des acides gras et les protéines des acides aminés.
Ceci dans le cadre d'une hydrolyse totale sinon, on en a pas fini avec les produits intermédiaires.

Différentes expériences sont réalisées afin de mieux connaître la composition des sécrétions pancréatiques. On remplit pour cela des tubes à essai avec des solutions de macromolécules ; on ajoute des sécrétions pancréatiques et on incube à 37 °C et à un pH de 6,8. Différents tests biochimiques sont réalisés sur ces tubes.
Les résultats suivants sont obtenus :

* tube contenant une solution d’amidon et des extraits pancréatiques :



* tube contenant une solution de triglycérides :




* tube contenant des flocons de blanc d’œuf cuit :




On rappelle que le test à la liqueur de Fehling permet de mettre en évidence les monosaccharides et que le bleu de bromothymol est un indicateur de pH : vert en milieu neutre ou légèrement acide et jaune en milieu acide (zone de virage pour pH 6).
Le blanc d’œuf contient majoritairement une protéine : l’ovalbumine.
Si les mêmes expériences sont réalisées sans ajouter de sécrétions pancréatiques, il n’y a jamais de changement au bout de 6 heures.

3. Analyser chacune des expériences pour en déduire de façon logique le rôle et donc le contenu enzymatique des sécrétions pancréatiques.
Une étude plus approfondie est réalisée sur une des enzymes des sécrétions pancréatiques : l’amylase.


Les tests biochimiques réalisés à base de solution d’amidon et d’extraits pancréatiques montrent un aspect limpide avant et après l’expérience. Le test à la liqueur de Fehling qui était une coloration bleue au départ devient un précipité rouge brique après 6 heures. Après ajout du bleu de bromothymol, la solution devient verte avant et après l’expérience.

Les tests biochimiques réalisés à base de solution d’amidon et d’extraits pancréatiques montrent un aspect trouble avant et après la 4eme expérience.

Dans la 5^ème expérience, la liqueur de Fehling est utilisée et donne une coloration bleue avant et après l’expérience.

Quant à l’expérience 6, le bleu de bromothymol permet de passer du vert au jaune après 6 heures.

Enfin, les tests biochimiques réalisés à base de flocons de blanc d’œuf cuit montrent un aspect limpide après 6 heures. La liqueur de Fehling ainsi que le bleu de bromothymol ne font aucun effet.

On en conclue que la solution d’amidon et d’extraits pancréatiques font effet à l’aide du test à la liqueur de Fehling ; la solution de triglycérides fait effet après ajout de bleu de bromothymol et les flocons de blanc d’œuf cuit font effet après chauffage à 37C°. Les enzymes des sécrétions pancréatiques ont une forme inactive ; elles ne s’activent qu’une fois dans l’intestin grêle sous l’action de l’amidon.

Ta conclusion n'a pas de sens.
On te demande la composition du suc pancréatique. Réfléchis à ce que chaque test signifie.

4. Définir le terme de catalyse et indiquer le type de réaction catalysée par l’amylase.
On cherche à connaître l’effet de la température sur l’activité enzymatique. On incube pour cela des tubes contenant de l’amylase et une solution d’amidon à différentes températures, durant 60 minutes. On réalise ensuite sur ces tubes des tests à l’eau iodée ou à la liqueur de Fehling. Les résultats suivants sont obtenus.




Catalyser veut dire accélérer.

L’amylase est une enzyme catalysant l’hydrolyse de l’amidon et ceux sont les polysaccharides qui catalysent l’amylase.

La définition de catalyse me semble légère.
Oui pour l'amylase. Par contre, polysaccharides catalysent l'amylase, ça ne veut rien dire.

5. Analyser ces résultats pour en déduire les effets de la température sur l’amylase.


Dans l’expérience 1, le tube contient de l’amylase et de l’amidon qui est incubé à 37°C dans les 2 tests. L’eau iodée ne réagit pas tandis que la liqueur de Fehling donne une réaction positive.

Dans l’expérience 2, toujours le même contenu dans le tube mais incubé à 100°C, le réactif réagit en présence d’eau iodée mais pas avec la liqueur de Fehling.

Dans l’expérience 3, le même réactif est incubé à 0°C et les mêmes effets réagissent.

Dans l’expérience 4, l’amylase qui a été congelée et l’amidon ont étés incubé à 37°C. Ils réagissent à la liqueur de Fehling mais pas à l’eau iodée.

Dans l’expérience 5, l’amylase qui a été bouillie et l’amidon ont étés incubé à 37°C. Ils réagissent à l’inverse de la précédente expérience.

On en conclue qu’à une température élevée, l’amylase réagit.

Même erreur que précédemment, tu t'arrêtes aux observations.
Réfléchis aux tests et tirent en les conclusions.

Exemple : Un précipité rouge brique à la liqueur de Fehling signifie qu'il y a du glucose.

Les effets du pH sont également étudiés pour cette enzyme. Pour cela, l’amylase est incubée 60 minutes à 37 °C en présence d’amidon, dans des solutions tamponnées de différents pH. Après 60 minutes, on dose les produits d’hydrolyse apparus et on en déduit la vitesse de réaction. Les résultats suivants ont été obtenus



6. Tracer la courbe exprimant la vitesse de réaction en fonction du pH et en déduire le pH pour lequel l’enzyme est la plus efficace.
Les pH suivants ont été mesurés au niveau de l’organisme : pH buccal = 6,3 ; pH gastrique = 3,1 ; pH entérique = 6,1.




L’enzyme est la plus efficace pour le pH=6.

7. Justifier à partir de ces mesures de pH la nécessité de posséder deux amylases (salivaire et pancréatique).


Il est nécessaire de posséder deux amylases, une salivaire qui agit au niveau buccal et donc n’est pas la même que l’amylase pancréatique au niveau gastrique puisque le pH n’est pas le même dans la bouche et dans l’estomac. Une enzyme donnée au niveau des substrats ne catalyse une réaction qu’avec un seul substrat. De même, une enzyme donnée au niveau de la réaction catalysée ne peut catalyser qu’un type de réaction.

Oui pour la courbe.
L'amylase buccale agit au niveau de la bouche, l'amylase pancréatique agit au niveau entérique (des intestins).
6.3 et 6.1 sont des pH proches donc c'est pas une différence de pH optimum.
Indice pour la solution : on te donne le pH gastrique, c'est pas pour rien

Ah d'accord.

Donc je n'ai pas fais de synthèse? Je dois dire la conclusion de ses expériences? Les commenter?

J'ai réussi à trouver quelques changement. Voici à nouveau mon résonnement:
3.

Les tests biochimiques réalisés à base de solution d’amidon et d’extraits pancréatiques montrent un aspect limpide avant et après l’expérience. Après ajout du bleu de bromothymol, la solution devient verte avant et après l’expérience. Ces deux tests ne font aucun effet.
Le test à la liqueur de Fehling qui était une coloration bleue au départ devient un précipité rouge brique après 6 heures. Il met ainsi en évidence les monosaccharides.

Les tests biochimiques réalisés à base de solution d’amidon et d’extraits pancréatiques montrent un aspect trouble avant et après la 4eme expérience.
Dans la 5ème expérience, la liqueur de Fehling est utilisée et donne une coloration bleue avant et après l’expérience.
Quant à l’expérience 6, le bleu de bromothymol permet de passer du vert au jaune après 6 heures, la solution est donc légérement acide.

Enfin, les tests biochimiques réalisés à base de flocons de blanc d’œuf cuit montrent un aspect limpide après 6 heures. On réalise qu'il contient de l'ovalbumine. La liqueur de Fehling ainsi que le bleu de bromothymol ne font aucun effet.

Est-ce un bon résonnement? J'ai découvert leur effet.


On en conclue que la solution d’amidon et d’extraits pancréatiques font effet à l’aide du test à la liqueur de Fehling ; la solution de triglycérides fait effet après ajout de bleu de bromothymol et les flocons de blanc d’œuf cuit font effet. Les enzymes des sécrétions pancréatiques ont une forme inactive ; elles ne s’activent qu’une fois dans l’intestin grêle sous l’action de l’amidon.

5.

L'eau iodée seule, quel que soit la température, ne permet pas d'hydrolyser l'amylase et l'amidon. Les tests positifs à la liqueur de Fehling montrent la présence d'un glucide réducteur.

7.
L'amylase salivaire agit au niveau buccal avec un pH=6,3 soit basique, mais durant peu de temps lorsqu'elle parvient dans l'estomac, elle n'est plus active. Ce qui explique un pH acide (3,1) au niveau gastrique. Mais une seconde amylase est donc nécessaire. D'où l'amylase pancréatique avec un pH proche de l'initial (6,1).

Sû Princess a écrit:

J'ai réussi à trouver quelques changement. Voici à nouveau mon résonnement:
3.

Les tests biochimiques réalisés à base de solution d’amidon et d’extraits pancréatiques montrent un aspect limpide avant et après l’expérience. Après ajout du bleu de bromothymol, la solution devient verte avant et après l’expérience. Ces deux tests ne font aucun effet.
Le test à la liqueur de Fehling qui était une coloration bleue au départ devient un précipité rouge brique après 6 heures. Il met ainsi en évidence les monosaccharides.

Les tests biochimiques réalisés à base de solution d’amidon et d’extraits pancréatiques montrent un aspect trouble avant et après la 4eme expérience.
Dans la 5ème expérience, la liqueur de Fehling est utilisée et donne une coloration bleue avant et après l’expérience.
Quant à l’expérience 6, le bleu de bromothymol permet de passer du vert au jaune après 6 heures, la solution est donc légérement acide.

Enfin, les tests biochimiques réalisés à base de flocons de blanc d’œuf cuit montrent un aspect limpide après 6 heures. On réalise qu'il contient de l'ovalbumine. La liqueur de Fehling ainsi que le bleu de bromothymol ne font aucun effet.

Est-ce un bon résonnement? J'ai découvert leur effet.

ça démarre bien.
Et donc ?
Tu n'as pas répondu à la question "3. Analyser chacune des expériences pour en déduire de façon logique le rôle et donc le contenu enzymatique des sécrétions pancréatiques. "

Je mets de l'amidon, et le résultat du test à la liqueur de Fehling m'indique la présence de sucres réducteurs après 6h ? Pourquoi ?
Pourquoi la solution de triglycérides devient acide après 6h ?
Pourquoi la solution d'albumine devient limpide ?

L'eau iodée seule, quel que soit la température, ne permet pas d'hydrolyser l'amylase et l'amidon. Les tests positifs à la liqueur de Fehling montrent la présence d'un glucide réducteur.

7.
L'amylase salivaire agit au niveau buccal avec un pH=6,3 soit basique, mais durant peu de temps lorsqu'elle parvient dans l'estomac, elle n'est plus active. Ce qui explique un pH acide (3,1) au niveau gastrique. Mais une seconde amylase est donc nécessaire. D'où l'amylase pancréatique avec un pH proche de l'initial (6,1).

L'eau iodée montre la présence d'amidon.
Pourquoi j'ai de l'amidon et pas de sucres réducteurs à 0°C, à 100°C ou avec une amylase bouillie ?
Pourquoi j'ai des sucres réducteurs et pas d'amidon à 37°C et avec une amylase congelée ?

Oui, l'amylase salivaire est inactivée dans l'estomac à cause du pH acide.

Et bien le test à la liqueur de Fehling indique la présence de sucres réducteurs après 6h car il y a eu hydrolyse de l'amidon. D'où les sécrétions nécessaires à la digestion de l'amidon.

La solution de triglycérides devient acide après 6h car il y a abscence de coloration. Le milieu initialement basique a été adicifié par la libération d'acides gras lors de l'hydrolyse des triglycérides.

La solution d'albumine devient limpide car il y a eu hydrolyse de l'ovalbumine et les petits flocons d'oeufs ont disparu.

5.
Lorsque la température est maximale ou minimale, le test positif à l'eau iodée montre la présence d'amdion.
Lorsque la température est normale, les test positif à la liqueur de Fehling montre la présence de sucres réducteurs (glucose).
On remarque que ces tests possèdent en commun une protéine mais qui réagit différement selon que l'amylase est congelée ou boullie. Cette protéine a pour action d'hydrolyser l'amidon.

Sû Princess a écrit:Et bien le test à la liqueur de Fehling indique la présence de sucres réducteurs après 6h car il y a eu hydrolyse de l'amidon. D'où les sécrétions nécessaires à la digestion de l'amidon.

La solution de triglycérides devient acide après 6h car il y a abscence de coloration. Le milieu initialement basique a été adicifié par la libération d'acides gras lors de l'hydrolyse des triglycérides.

La solution d'albumine devient limpide car il y a eu hydrolyse de l'ovalbumine et les petits flocons d'oeufs ont disparu.

Oui, le suc pancréatique contient une amylase, une lipase et une protéase.

5.
Lorsque la température est maximale ou minimale, le test positif à l'eau iodée montre la présence d'amdion.
Lorsque la température est normale, les test positif à la liqueur de Fehling montre la présence de sucres réducteurs (glucose).
On remarque que ces tests possèdent en commun une protéine mais qui réagit différement selon que l'amylase est congelée ou boullie. Cette protéine a pour action d'hydrolyser l'amidon.

L'amylase est active à 37°C et inactive à 0°C et 100°C
La congélation ne dégrade pas l'amylase. Par contre, l'amylase est dénaturée et inactivée par la chaleur (Une enzyme est une protéine donc sensible à la chaleur)

Alors une protéine est sensible à la chaleur?
Mais alors les protéines se dégrade dans notre corps puisqu'il est chaud.

non?

non ça n'a rien à voir
Excusez moi pour cette question!

Merci de m'avoir aidé!

37°C, c'est pas chaud pour une protéine.

Chez certains organismes (une bactérie qui vit dans les eaux chaudes : Thermophilus aquaticus), l'ADN polymérase fonctionne même à 70°C, là où toutes les protéines humaines seraient dénaturées.

ah d'accord.
Merci encore Antares
Grâce à vous, je sens que je progresse en biologie, en cherchant moi-même les effets d'une expérience. Car certains ne donne que la réponse sans expliquer.