Epistémologie
4 participants
Page 1 sur 1
Epistémologie
Comme vous êtes tous scientifiques, peut être certains d'entre vous sont interessés par l'épistémologie (philosophie des sciences en quelque sorte), c'est ma spécialité en philo, je met une bibliographie autour du thème de la notion d'individu dans la pensé du vivant, si quelqu'un est interessé, je peux rédiger une petite introduction à la question.
biblio :
- La connaissance de la vie, Canguilhème
- La logique du vivant, Jacob
- Traité sur les parties des animaux, Aristote
- Traité de l'Homme, Principe de la Philosophie, Descartes
- Critique de la faculté de juger, Kant
- L'origine des espèce, Darwin
- L'évolution créatrice, Bergson
- Histoire de la notion de vie, Pichot
- Le vivant, Dagognet
- La structure de l'organisme, Goldstein
- La normal et le Pathologique, Canguilhème
- Autonomie et connaissance, "Essai sur le vivant", Varela
biblio :
- La connaissance de la vie, Canguilhème
- La logique du vivant, Jacob
- Traité sur les parties des animaux, Aristote
- Traité de l'Homme, Principe de la Philosophie, Descartes
- Critique de la faculté de juger, Kant
- L'origine des espèce, Darwin
- L'évolution créatrice, Bergson
- Histoire de la notion de vie, Pichot
- Le vivant, Dagognet
- La structure de l'organisme, Goldstein
- La normal et le Pathologique, Canguilhème
- Autonomie et connaissance, "Essai sur le vivant", Varela
Maldoror- Modérateur
- Nombre de messages : 2939
Age : 36
Localisation : Gainesville, FL
Profession / Etudes : Doctorat histoire/Master lettres/licence Sciences du langage/licence philo
Points : 7791
Date d'inscription : 25/06/2005
Re: Epistémologie
Moi ça m'intéresse ton introduction !
Julien- Administrateur
- Nombre de messages : 12291
Age : 37
Localisation : Clermont-Ferrand
Profession / Etudes : Ingénieur
Points : 22709
Date d'inscription : 10/03/2005
Re: Epistémologie
j'ai bien envie que vous ns fasses une petite introduction sur "Critique de la faculté de juger" de Kant
ça m'interesse
ça m'interesse
mina- Membre
- Nombre de messages : 10
Age : 37
Localisation : algerie
Profession / Etudes : etudiante en 2eme année tronc commun technologie
Points : 6181
Date d'inscription : 23/12/2007
Re: Epistémologie
Je m'y attelle. je posterai ça une fois terminé
Maldoror- Modérateur
- Nombre de messages : 2939
Age : 36
Localisation : Gainesville, FL
Profession / Etudes : Doctorat histoire/Master lettres/licence Sciences du langage/licence philo
Points : 7791
Date d'inscription : 25/06/2005
Re: Epistémologie
Bien, je n’ai plus beaucoup de partiels donc je me permets une petite introduction à la critique de la faculté de juger de Kant, et plus généralement à l’idée qui s’y rattache au sujet du vivant.
* Je tiens à préciser que ce n’est pas un cour, n’ayant pas eu cette année de cour sur Kant, il s’agit d’une analyse personnelle, brève, dont certains points pourront êtres discutés si bon vous semble !
* peut être que des connaissances sur les différents idées du principes de vie dans l’histoire de la philosophie des sciences sont nécessaires à une parfaite compréhension, je les rajouterai après si c’est demandé !
En premier lieu, il faut éclaircir la stratégie critique de Kant. La philosophie transcendantale de Kant, ou criticisme, n’est pas, et Kant le rappel « une critique des livres et des systèmes, mais celle du pouvoir de la raison en général, à l’égard de toutes les connaissances auxquelles elle peut prétendre indépendamment de toute expérience, par la suite la décision sur la possibilité ou l’impossibilité d’une métaphysique en général et la détermination aussi bien de ses sources que de son étendue et de ses limites, le tout à partir de principes » (cf. préface de la première édition de la Critique de la raison pure)
L’objectif des trois grandes critiques de Kant sera l’élaboration progressive d’une théorie des facultés isolées comme sensibilité, entendement, raison, en montrant à chaque fois que chaque faculté met en jeu de l’a priori et que cet a priori ne s’ordonne pas à la distinction du sensible et de l’intelligible, puisqu’il y a de l’a priori sensible, du sensible non sensible.
Du jugement esthétique au jugement téléologique, Kant nous amène à penser par la téléologie un possible rapport entre science de la nature et théologie. Kant rejette le génératio aequivoca, admet le génératio univoca, où une chose organique procède d’une autre chose organique selon une génération d’êtres de la même espèce.
Sa pensée se situe entre l’occasionalisme et le praestabilisme. L’occasionalisme est d’emblée écarté car il consiste à faire de l’apparition de la vie un miracle, prétendant que la forme organique donnée à la matière le serait par une cause suprême. Le praestabilisme est la théorie de la préformation, s’agissant soit du système de l’évolution, soit de celui de l’épigenèse, système pour lequel Kant opte, c’est-à-dire que la forme est préformée virtuellement, selon les dispositions internes finales dévolues à l’espèce à laquelle appartiennent les géniteurs.
C’est à la dernière partie de la critique que nous allons nous intéresser, laissant de côté le jugement esthétique pour nous intéresser à l’organisation et l’individuation chez Kant.
I- Le principe téléologique de finalité, régulateur de la pensée de l’individu.
Kant nous permet d’aborder la difficulté posée par l’étude du vivant comme individu en parvenant à tenir ensemble mécanisme et finalité sans que l’un oblige à exclure l’autre.
Dans Idée d’une histoire universelle au point de vue cosmopolite, Kant reconnais que l’anatomie nous permet de décrire des mécanismes, mais il est aussi vrai qu’elle nous amène à nous demander dans quels buts ils sont tels, et ce en vue de comprendre la fonction dans l’économie et la dynamique de l’organisme. Il est donc impossible d’isoler le mécanisme sans tenter de penser le lien qui l’unit, en tant que partie, à un tout au sein duquel il joue un rôle en tant que moyen en vue d’une fin.
Avec Kant, nous pouvons avoir comme fil conducteur de notre réflexion cette idée d’une fin naturelle attachée à l’animal comme sens à donner à son organisation. C’est comme si la nature avait voulut organiser l’individu vivant dans le but qu’il développe complètement ces dispositions, en fonction de sa constitution. La finalité joue le rôle de ce que Kant appelle une Idée de la raison. Idée qui montre l’effort de synthèse par la raison de la totalité, exprimant seulement que c’est « comme si » la nature avait voulu que les différentes mécanismes soient unis en vue de la même fin, l’organisation du vivant en vue de la réalisation de sa vie biologique.
Sans faire intervenir de puissance transcendante ou métaphysique, il est possible, par la seul la seule intervention de la raison au service de la connaissance scientifique, de donner à l’idée de téléologie dans la nature, un rôle directeur, moteur, pour la recherche opérée par l’entendement scientifique.
Au sujet de l’ordre de la nature en général, Kant montre qu’une pensée en est possible par l’idée d’un entendement divin, mais ce n’est que l’Idée de Dieu et non un dogme.
Il en va de même pour l’ordre interne des organisme : le sens à donner à l’agencement interne et à l’ensemble des organismes est guidé par l’idée d’une fin naturelle.
Il est possible de réfléchir se qui pourrait rendre compte de cet ordre sans pour autant renoncer aux exigences de la science, afin d’en explorer plus profondément les mécanismes.
II- Rapport entre parties et tout
Dans les chapitres 64 et 65 de la faculté de juger, le vivant est abordé comme individu organisé et fin naturelle. Kant reprend Descartes, certains de ces exemples, dont il montre les limites et propose leur dépassement par l’idée de finalité.
Il met en place la distinction entre deux types de causes :
- les causes réelles (ou efficientes)
- les causes finales (ou idéales)
Par effet de cause il est ainsi amené à rapporter au vivant deux types de forces :
- une force motrice, mécanique
- une force formatrice, organisatrice
Kant montre que l’être vivant est à la fois cause et effet de lui-même, effet sur un plan mécanique, cause en tant qu’il s’organise lui-même dans le but de réaliser une fin inscrite en lui, c-à-d. la réalisation de ces dispositions naturelles. C’est en cela que l’être vivant se distingue des éléments inertes et des machines.
Il s’agit aussi de repenser la finalité interne du mouvement, et pour cela, indique une capacité d’autoproduction caractéristique du vivant (cf. § 65)
Un individu, comme une machine, est composé de parties. Seulement, pour la machine, la cause efficiente et la cause finale sont extérieures à celle-ci, elle à hors d’elle son principe d’existence, et elle n’a pu exister que parce que son concepteur à appliqué la forme à une matière prélevée dans la nature que ce dernier à pu façonner.
En revanche, un être vivant est cause et effet de lui-même, il a en lui-même le principe de son existence, de sa naissance, de sa reproduction. Les parties d’un être vivant, au contraire de celles d’une machine, existent par et pour les autres et pour le tout. Chacune d’elle joue un rôle dans la croissance, l’entretien, la réparation d’une autre partie si elle devient défectueuse
De plus, le vivant prélève de lui-même dans la nature la matière qu’il transforme en sa propre substance. L’être vivant se distingue donc de la machine par sa force formatrice.
Le vivant n’est donc plus pensé comme simple machine comme il l’était par Descartes, c’est-à-dire qu’il l’est, mais avec quelque chose de plus, qu’il ne l’est donc pas seulement. C’est pour cela que pour Kant il est nécessaire de penser la causalité qui préside à son organisation et à sa vie même comme liée à une finalité naturelle dont la raison peut nous donner l’idée.
III- Espèce, individu, partie, milieu
Kant développe au paragraphe 64 de la Critique de la faculté de juger une réflexion sur le rapport entre l’individu et son espèce, lui-même et ces parties, inaugurant ainsi une pensée de l’organisation. Tout le texte déploie l’idée que l’être vivant est cause et effet de lui-même. Kant montre une relativité de l’individualité dans le rapport de l’individu à lui-même et à ce qui n’est pas lui (espèce et parties), relativité impensable sans lien d’interdépendance à ce qui en excède les limites singulières ou à ce qu’elle inclut, pour la saisir complètement.
* Je tiens à préciser que ce n’est pas un cour, n’ayant pas eu cette année de cour sur Kant, il s’agit d’une analyse personnelle, brève, dont certains points pourront êtres discutés si bon vous semble !
* peut être que des connaissances sur les différents idées du principes de vie dans l’histoire de la philosophie des sciences sont nécessaires à une parfaite compréhension, je les rajouterai après si c’est demandé !
En premier lieu, il faut éclaircir la stratégie critique de Kant. La philosophie transcendantale de Kant, ou criticisme, n’est pas, et Kant le rappel « une critique des livres et des systèmes, mais celle du pouvoir de la raison en général, à l’égard de toutes les connaissances auxquelles elle peut prétendre indépendamment de toute expérience, par la suite la décision sur la possibilité ou l’impossibilité d’une métaphysique en général et la détermination aussi bien de ses sources que de son étendue et de ses limites, le tout à partir de principes » (cf. préface de la première édition de la Critique de la raison pure)
L’objectif des trois grandes critiques de Kant sera l’élaboration progressive d’une théorie des facultés isolées comme sensibilité, entendement, raison, en montrant à chaque fois que chaque faculté met en jeu de l’a priori et que cet a priori ne s’ordonne pas à la distinction du sensible et de l’intelligible, puisqu’il y a de l’a priori sensible, du sensible non sensible.
Du jugement esthétique au jugement téléologique, Kant nous amène à penser par la téléologie un possible rapport entre science de la nature et théologie. Kant rejette le génératio aequivoca, admet le génératio univoca, où une chose organique procède d’une autre chose organique selon une génération d’êtres de la même espèce.
Sa pensée se situe entre l’occasionalisme et le praestabilisme. L’occasionalisme est d’emblée écarté car il consiste à faire de l’apparition de la vie un miracle, prétendant que la forme organique donnée à la matière le serait par une cause suprême. Le praestabilisme est la théorie de la préformation, s’agissant soit du système de l’évolution, soit de celui de l’épigenèse, système pour lequel Kant opte, c’est-à-dire que la forme est préformée virtuellement, selon les dispositions internes finales dévolues à l’espèce à laquelle appartiennent les géniteurs.
C’est à la dernière partie de la critique que nous allons nous intéresser, laissant de côté le jugement esthétique pour nous intéresser à l’organisation et l’individuation chez Kant.
I- Le principe téléologique de finalité, régulateur de la pensée de l’individu.
Kant nous permet d’aborder la difficulté posée par l’étude du vivant comme individu en parvenant à tenir ensemble mécanisme et finalité sans que l’un oblige à exclure l’autre.
Dans Idée d’une histoire universelle au point de vue cosmopolite, Kant reconnais que l’anatomie nous permet de décrire des mécanismes, mais il est aussi vrai qu’elle nous amène à nous demander dans quels buts ils sont tels, et ce en vue de comprendre la fonction dans l’économie et la dynamique de l’organisme. Il est donc impossible d’isoler le mécanisme sans tenter de penser le lien qui l’unit, en tant que partie, à un tout au sein duquel il joue un rôle en tant que moyen en vue d’une fin.
Avec Kant, nous pouvons avoir comme fil conducteur de notre réflexion cette idée d’une fin naturelle attachée à l’animal comme sens à donner à son organisation. C’est comme si la nature avait voulut organiser l’individu vivant dans le but qu’il développe complètement ces dispositions, en fonction de sa constitution. La finalité joue le rôle de ce que Kant appelle une Idée de la raison. Idée qui montre l’effort de synthèse par la raison de la totalité, exprimant seulement que c’est « comme si » la nature avait voulu que les différentes mécanismes soient unis en vue de la même fin, l’organisation du vivant en vue de la réalisation de sa vie biologique.
Sans faire intervenir de puissance transcendante ou métaphysique, il est possible, par la seul la seule intervention de la raison au service de la connaissance scientifique, de donner à l’idée de téléologie dans la nature, un rôle directeur, moteur, pour la recherche opérée par l’entendement scientifique.
Au sujet de l’ordre de la nature en général, Kant montre qu’une pensée en est possible par l’idée d’un entendement divin, mais ce n’est que l’Idée de Dieu et non un dogme.
Il en va de même pour l’ordre interne des organisme : le sens à donner à l’agencement interne et à l’ensemble des organismes est guidé par l’idée d’une fin naturelle.
Il est possible de réfléchir se qui pourrait rendre compte de cet ordre sans pour autant renoncer aux exigences de la science, afin d’en explorer plus profondément les mécanismes.
II- Rapport entre parties et tout
Dans les chapitres 64 et 65 de la faculté de juger, le vivant est abordé comme individu organisé et fin naturelle. Kant reprend Descartes, certains de ces exemples, dont il montre les limites et propose leur dépassement par l’idée de finalité.
Il met en place la distinction entre deux types de causes :
- les causes réelles (ou efficientes)
- les causes finales (ou idéales)
Par effet de cause il est ainsi amené à rapporter au vivant deux types de forces :
- une force motrice, mécanique
- une force formatrice, organisatrice
Kant montre que l’être vivant est à la fois cause et effet de lui-même, effet sur un plan mécanique, cause en tant qu’il s’organise lui-même dans le but de réaliser une fin inscrite en lui, c-à-d. la réalisation de ces dispositions naturelles. C’est en cela que l’être vivant se distingue des éléments inertes et des machines.
Il s’agit aussi de repenser la finalité interne du mouvement, et pour cela, indique une capacité d’autoproduction caractéristique du vivant (cf. § 65)
Un individu, comme une machine, est composé de parties. Seulement, pour la machine, la cause efficiente et la cause finale sont extérieures à celle-ci, elle à hors d’elle son principe d’existence, et elle n’a pu exister que parce que son concepteur à appliqué la forme à une matière prélevée dans la nature que ce dernier à pu façonner.
En revanche, un être vivant est cause et effet de lui-même, il a en lui-même le principe de son existence, de sa naissance, de sa reproduction. Les parties d’un être vivant, au contraire de celles d’une machine, existent par et pour les autres et pour le tout. Chacune d’elle joue un rôle dans la croissance, l’entretien, la réparation d’une autre partie si elle devient défectueuse
De plus, le vivant prélève de lui-même dans la nature la matière qu’il transforme en sa propre substance. L’être vivant se distingue donc de la machine par sa force formatrice.
Le vivant n’est donc plus pensé comme simple machine comme il l’était par Descartes, c’est-à-dire qu’il l’est, mais avec quelque chose de plus, qu’il ne l’est donc pas seulement. C’est pour cela que pour Kant il est nécessaire de penser la causalité qui préside à son organisation et à sa vie même comme liée à une finalité naturelle dont la raison peut nous donner l’idée.
III- Espèce, individu, partie, milieu
Kant développe au paragraphe 64 de la Critique de la faculté de juger une réflexion sur le rapport entre l’individu et son espèce, lui-même et ces parties, inaugurant ainsi une pensée de l’organisation. Tout le texte déploie l’idée que l’être vivant est cause et effet de lui-même. Kant montre une relativité de l’individualité dans le rapport de l’individu à lui-même et à ce qui n’est pas lui (espèce et parties), relativité impensable sans lien d’interdépendance à ce qui en excède les limites singulières ou à ce qu’elle inclut, pour la saisir complètement.
Maldoror- Modérateur
- Nombre de messages : 2939
Age : 36
Localisation : Gainesville, FL
Profession / Etudes : Doctorat histoire/Master lettres/licence Sciences du langage/licence philo
Points : 7791
Date d'inscription : 25/06/2005
Re: Epistémologie
Oui ça m'intéresse aussi! Tu pourrais faire une petite intro pour le journal?? (merci, c'est juste une idée, t'est pas obligée d'accepter)
Re: Epistémologie
d'épistémo ou sur un auteur en particulier ?
Simplement il me faudra un peu de temps, je dois finir un travail sur Kierkegaard, il me reste quelques partiels, et un lourd programme de travail pour ces "vacances".
Si c'est un article d'épistémo que tu veux, ça sera epistémologie de la biologie et introduction aux problématiques de l'individu et du vivant, pour l'instant, je suis pas assez calée en épistémo des maths ou de la physique pour en faire une introduction solide !
Simplement il me faudra un peu de temps, je dois finir un travail sur Kierkegaard, il me reste quelques partiels, et un lourd programme de travail pour ces "vacances".
Si c'est un article d'épistémo que tu veux, ça sera epistémologie de la biologie et introduction aux problématiques de l'individu et du vivant, pour l'instant, je suis pas assez calée en épistémo des maths ou de la physique pour en faire une introduction solide !
Maldoror- Modérateur
- Nombre de messages : 2939
Age : 36
Localisation : Gainesville, FL
Profession / Etudes : Doctorat histoire/Master lettres/licence Sciences du langage/licence philo
Points : 7791
Date d'inscription : 25/06/2005
Re: Epistémologie
si vous voulez quelque chose de plus mathématique (bien que ça ne le sois pas en fait) je peux faire une introduction à la logique en philo (avec Ariste, Hegel, Marx ...)
Maldoror- Modérateur
- Nombre de messages : 2939
Age : 36
Localisation : Gainesville, FL
Profession / Etudes : Doctorat histoire/Master lettres/licence Sciences du langage/licence philo
Points : 7791
Date d'inscription : 25/06/2005
Re: Epistémologie
Maldoror a écrit:d'épistémo ou sur un auteur en particulier ?
Simplement il me faudra un peu de temps, je dois finir un travail sur Kierkegaard, il me reste quelques partiels, et un lourd programme de travail pour ces "vacances".
Si c'est un article d'épistémo que tu veux, ça sera epistémologie de la biologie et introduction aux problématiques de l'individu et du vivant, pour l'instant, je suis pas assez calée en épistémo des maths ou de la physique pour en faire une introduction solide !
Je pensais à une introduction sur l'épistémologie. A mon avis, peu de personnes connaissent vraiment ce que c'est (je pense en avoir une idée assez superficielle). Un article d'introduction à l'épistémologie de la biologie ça sera très bien. Prend tout ton temps pour l'écrire, c'est pas urgent.
Merci beaucoup
Re: Epistémologie
ok !!
Maldoror- Modérateur
- Nombre de messages : 2939
Age : 36
Localisation : Gainesville, FL
Profession / Etudes : Doctorat histoire/Master lettres/licence Sciences du langage/licence philo
Points : 7791
Date d'inscription : 25/06/2005
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Jeu 2 Juil 2015 - 15:16 par louaraychi
» Devoir maison sur équilibre et réaction chimique
Dim 1 Fév 2015 - 17:19 par sararose
» Ma présentation
Sam 25 Oct 2014 - 23:29 par Rith
» projet scientique sur la LUMIERE
Ven 26 Sep 2014 - 20:33 par benjamin-010
» La trajectoire de la Terre
Mar 5 Aoû 2014 - 22:19 par Alban
» Equilibrer une réaction redox
Dim 8 Juin 2014 - 21:18 par Courtney ♥
» les effets sur les lignes de transport de l’électricité
Ven 30 Mai 2014 - 17:14 par leila14
» lignes de transport de l'électricité
Ven 30 Mai 2014 - 17:07 par leila14
» Gravitation
Ven 16 Mai 2014 - 20:16 par fatimaa
» Maquette suspension de moto 2D
Jeu 17 Avr 2014 - 17:20 par Sti2d